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dimanche 1 juin 2008

La défense est en danger : Comité de soutien à Maître RIPERT

La défense est en danger : Comité de soutien à Maître RIPERT


http://comitedesoutienabernardripert.hautetfort.com/

Réunion publique le Mercredi 11 juin 2008 à 19h00 à la Maison de l’Avocat (45 rue pierre SEMARD à GRENOBLE)

La justice continue à s’acharner contre Maître Ripert, Avocat grenoblois,



dont elle n’accepte pas la liberté de parole et de ton qu’il emploie pour défendre. Aujourd’hui, de nombreuses lois et une certaine pratique judiciaire, de plus en plus répandue veulent réduire le rôle de l’avocat et les droits de la défense (peines automatiques; secteur du droit déjudiciarisé; systématicité des condamnation, etc…)
Maître Ripert est un avocat qui n’accepte pas que la justice ne tolère plus qu’une défense soumise et déférente. Savez vous que l’on oblige les avocats à quitter leur ceinture et leurs chaussures pour les autoriser à pénétrer en Maison d’arrêt pour rencontrer leurs clients !!!! Maître Ripert se bat pour rester un homme qui défendra debout et face à l’attitude de certains juges ou de certaines juridictions ; il ne conteste pas avoir tenu des propos acerbes, offensifs, mais fondés.

C’est ce qui lui est reproché ! « On » veut le condamner pour cela.
Il doit être jugé à l’audience du 11 septembre 2008 (à 9 heures) du Tribunal Correctionnel de Dijon.

Non satisfait de ces poursuites pénales, le procureur général de Grenoble vient, à nouveau, de saisir le conseil de discipline de deux demandes à son encontre, de poursuites disciplinaires, pour les mêmes motifs. Il est clair que la justice veut faire taire Maître Ripert. Elle cherche par tous les moyens à l’empêcher de continuer d’exercer son métier. Il est clair que la justice n’accepte plus la liberté de la défense, quand celle-ci va au bout de ses droits !

La justice se pense t’elle parfaite, au-dessus de toute critique et de toute erreur ? Les juges seraient-ils parfaits et intouchables si nul n’a le droit de les mettre en cause, de les critiquer ?

Pour la liberté de la défense, pour le respect de son immunité, pour le droit de la liberté d’expression de l’Avocat, il est indispensable de soutenir la défense lorsqu’elle est attaquée. Nous pensons comme Maître Ripert, que chaque fois qu’une liberté recule, le fascisme avance.

 

__Une réunion publique d’informations et de préparation de son procès est organisée le Mercredi 11 juin 2008 à 19h00 à la Maison de l’Avocat (45 rue pierre SEMARD à GRENOBLE)__

Nous comptons sur votre présence et, si possible, à votre soutien au Comité. Rejoindre le comité de soutien, écrivez nous à : soutienbernardripert@

dimanche 25 mai 2008

MANIFESTATION DU 22 MAI A GRENOBLE & Nous, on veut vivre



ENCORE ET TOUJOURS PLUS DE RÉPRESSION

LES FEMMES ET LES ENFANTS D’ABORD

PLACE VERDUN ET AILLEURS

GAZES A MORT

Ils étaient 8000 selon la police, 20 à 30 000 selon les syndicats à finir la manif au Parc Mistral, voie de garage, saucisses, merguez cgètes à l’odeur alléchée…
Nous étions quelques uns venus du Vercors, drapeau noir et le cœur solidaire aux jeunes lycéens. Pendant que sur la place Verdun se terminait la manif devant la Préfecture comme d’ab…les lycéens avec une longueur d’avance étaient déjà confrontés à la violence policière.
Avec les syndicats SUD /SOLIDAIRES et CNT nous les avons rejoints beaucoup plus tard, car nous étions en fin de cortège. « Tous ensemble l’union fait la force » sans compter les picque-niqueurs du dimanche… et la lâcheté des grands syndicats.
« Les fauteurs de trouble, les anarchistes, les voyous, les casseurs » ainsi que les gentils lycéens, les professeurs, les petits syndicats, les Mères de la place Verdun furent évacués par une mitraille de bombes lacrymo, trop de stock, il fallait les balancer.. Et comme d’ab, la révolte et l’inacceptable continuèrent et marchèrent en ville un peu plus loin sans le moindre soutien des bedeaux en manque de sécurité.

Mouvement lycéen printemps 2008 - Grenoble

Nous, on veut vivre

Jeudi 15 Mai 2008, Grenoble : le centre-ville est le théâtre de plusieurs heures d’affrontements entre quelques milliers de manifestants et les forces de l’ordre. Manifestations sauvages à répétition, lancer de canettes, de pommes pourries, ou de caillasses d’un côté, contre flashballs et grenades lacrymogènes à outrance (plus de 250 tirées dans la journée) de l’autre. L’énergie, l’entêtement et l’endurance des manifestants ont marqué les esprits et notamment ceux des tenants de l’ordre établi, qu’ils soient policiers, journalistes ou syndicalistes. Et de s’indigner plus ou moins ouvertement contre "ces pratiques qui ne mènent à rien", cette "routine des affrontements", de stigmatiser des "militants anarcho-libertaires manipulateurs". Avec, au bout, toujours les même questions : "mais pourquoi vous faites ça ? " ; "qu’est-ce que vous voulez ?". Ce qu’on veut ?

Nous, on veut pas finir policier.

Lors de la dernière manif’ lycéenne, Jean-Claude Borel-Garin, directeur départemental de la sécurité publique et commissaire central de Grenoble, a fait la morale aux manifestants pour leur expliquer comment réaliser une manif’ "réussie". C’est normal, il s’y connaît : c’est un homme qui a tout "réussi". Ancien numéro 2 du Raid, il vient d’être nommé "contrôleur général", un des plus hauts grades de la Police. Ayant grandi dans la cité ouvrière et populaire de Jean Macé, parmi les pauvres ; il est maintenant bien installé parmi les dominants, habitant une maison chic dans les hauteurs embourgeoisées de Corenc. On comprend donc tout l’intérêt qu’il a à ce que les manifs soient "réussies", c’est-à-dire inoffensives pour les dominants. Sans doute un modèle pour Amin Boutaghane, directeur des Renseignements Généraux de l’Isère et chevalier de la Légion d’honneur, ou Dorothée Celard, 26 ans et Commissaire-adjoint de sécurité-proximité de Grenoble à la tête de 400 policiers. Ces différents exemples de "réussite" nous font vomir. Une vie passée à la défense de l’ordre établi, de l’Etat et des dominants. Une vie à ficher, interpeller, réprimer les pauvres, les fouilles-merdes, les pas normaux, les engagées, les enragés. Merci, très peu pour nous. Nous, on ne veut ni de piscine à Meylan, ni de Légion d’honneur, ni de salaires mirobolants. Nous ne cherchons pas à avoir une vie "réussie" mais à réfléchir à comment la vie pourrait valoir le coup d’être vécue.

Nous, on veut pas finir au Daubé (ni à Libé).

Le Daubé, qui ajoute ses notes au concert médiatique nauséabond sur les "évènements" de mai 68, mais qui dénigre la page d’après les manifestations de colère actuelles. Le Daubé qui ne manque jamais d’enthousiasme et d’entrain pour relater telle inauguration, tel match de rugby, tel débat chiant à mourir. Mais qui à propos des manifestations sauvages parle, avec dédain, de "routine". Non, ce n’est pas ça la routine. La routine, c’est le travail quotidien des Denis Masliah ou Vanessa Laime, "journalistes" au Daubé en faits divers. Être obligé de se torturer l’esprit pour trouver quelques traits d’humour afin d’agrémenter les informations brutes - jamais vérifiées - de la Police ; voilà bien un triste métier. On comprend dès lors qu’ils méprisent celles et ceux qui tentent de sortir d’une routine, de vivre intensément. La routine, c’est aussi "Grenews", dernier rejeton du Daubé, qui court après les "jeunes qui bougent" qu’ils soient footeux, artistes ou contestataires pour tenter de grapiller de nouveaux lecteurs et ainsi satisfaire les publicitaires. Vendre du temps de cerveau disponible à Ikea, Renault, ou au Summum, voilà toute l’ambition politique du Daubé. La routine, c’est l’inverse de ce que devrait faire des journalistes. Un travail d’enquêtes et d’investigations pétri d’esprit critique bien loin de la production de lèche-cul-des-autorités du Daubé. Nous, on a soif de véritables informations. On veut comprendre le monde dans lequel on vit. Pas celui des élites, le vrai.

Nous, on veut pas finir à la CGT.

Quelle tristesse que le spectacle de ces cortèges mous, transpirant la certitude d’être en train de tout perdre. Quelle désolation que de s’apercevoir que les intérêts du pouvoir et des responsables syndicaux sont liés ; et qu’ils s’entendent très bien pour ne pas faire déborder les luttes des cadres établis, pour qu’elles ne remettent pas trop en cause le système. Quelle consternation que de voir les ex-responsables syndicaux lycéens ou étudiants rejoindre les structures du pouvoir (par exemple, au niveau local, Laure Masson et Hélène Vincent, anciennes responsables de l’Unef, aujourd’hui adjointes au maire de Grenoble). Nous, on veut pas, dans 20 ans, se retrouver à défiler pour s’indigner contre le passage à 53 années et demi de cotisations, puis remballer nos autocollants et banderoles deux manifs plus tard, après que nos dirigeants aient obtenu des "garanties" du gouvernement. Nous, si l’on sort dans la rue, c’est parce que l’on étouffe dans les règles et normes de cette société ; et qu’on veut la changer, ici et maintenant. "Discours, merguez et traditions. Elle est pour quand, la révolution ?" N’en déplaise à ceux qui aimeraient bien nous catégoriser ("jeunes radicaux", "révolutionnaires", "anarcho- libertaires", "ultra-gauchistes", "casseurs", "adolescents attardés", "totos"....), nous ne rentrons pas dans des cases. Différents, multiples, non réductibles à une appellation, nous sommes unis par le refus de la fatalité et la volonté d’essayer d’ouvrir des possibles, loin des trottoirs battus. Pas naïfs pour autant, nous sommes bien conscients que coincés entre la BAC et le Bac, ce mouvement-ci va peut-être mourir petit-à-petit. Mais ce sera pour mieux revenir plus tard. "Back dans les bacs". Avec toujours la même volonté de relancer l’économiste le plus loin possible et de libérer nos vies du culte du fric, de la marchandise, et de la nouvelle-réalité—mondiale-à-laquelle-il-faut-s’adapter. Avec toujours la même volonté de résister avant que les dernières "innovations" technologiques (vidéosurveillance, biométrie, puces implantables sous la peau, drones...) rendent suicidaires toute opposition au pouvoir.

Nous on a des rêves

De grèves sans trêves où l’on trouve du groove D’instants intenses dépassant les interdits installés Face à la morne mélancolie, on veut remplir nos vies de poésie Même dans les tracts et pouvoir aux bas mots Casser la barack, comme Obama. Nous avons toute la vie pour ne pas nous contenter de notre sort Nous aurons toute la mort pour ne pas avoir de remords Nous, on veut vivre.

Premiers signataires : Association "Place de Verdun : J’y suis, j’y reste" ; groupe "La Rue Kinousappartient" ; A l’Attac 38 ; Solidarité Bande de Gazage ; Union "Touche pas à ma rue" ; Comité pour un gazage sans OGM ; mouvement "Guerre sociale et amour fou" ; comité "Passe sur la BAC d’abord" ; club "GF 38" (Gaz vs Fumigènes 38) ; Michel et Olivier (Derniers Poilus de la Bataille de Verdun) ; parti NPA (Noix et Pommes Avariées), Michael Scofield de Prison Break, union syndicale CRS (Citron, Rage et Sérum phy) ; groupe-Facebook "Salut, ça gaze ?", collectif unitaire "Un jour, j’irai au Rectorat avec toi..." ; Ligue des Droits des Pommes, Association "Arrêté, crie ton nom" (ACTN), Réseau FTC (Fous Ta Cagoule), FIDL Gastro, Front de Libération des Rues, fan-club de Magali Coppere...

http://www.graner.net/francois/affiches/vivants_dabord.jpg

jeudi 17 avril 2008

"THE TAKE" PROJECTION-DEBAT A PONT EN ROYANS

The Take Film documentaire canadien de Avi Lewis & Naomi Klein (2004) Avec la participation de Naomi Klein, Avi Lewis et des ouvriers et ouvrières argentins.

Un des reproches les plus fréquemment adressés aux partisans alter mondialiste est souvent l’affirmation suivante : "Ok, vous avez bien raison de ne pas être d’accord mais à part ça, vous avez quoi comme solution ?". C’est en se basant sur cette interrogation que Naomi Klein et Avi Lewis, Canadiens engagés et alter mondialistes reconnus, ont décidé de réaliser ce documentaire consacré à la crise argentine.



Il se trouve que là-bas, les ouvriers des usines abandonnées ou mises frauduleusement en faillite par certaines décisions politiques (les dommages collatéraux des décisions du Fond Monétaire International, soyons clairs) ont décidé de s’emparer de leur outil de travail pour le remettre en route. La morale de l’histoire ? Cette solution fonctionne, les entreprises décollent et l’espoir renaît. Plus de 8 mois de tournage durant la période de crise que connût l’Argentine lors des dernières élections présidentielles, 250 heures de vidéos en archives et le documentaire final en forme de bilan sont donc les échos des difficultés qu’a connu ce pays et ses habitants pour essayer de ne pas se noyer. Institutions bancaires en faillites, inflation galopante, chômage endémique, dévaluation monétaire quasi journalière, retour sur le terrain électoral des politiciens populistes ou escrocs, etc.,. Le constat est inquiétant mais toutes les plaies classiques de la crise économique néo-libérale s’étaient filées rendez-vous dans ce pays à l’instant I. L’espoir aussi (heureusement).

En s’appropriant les entreprises délaissées par leurs propriétaires (tous partis dépenser dans l’urgence leurs dollars à l’étranger, tu m’étonnes !), les ouvriers argentins ont donc recréé, pas à pas, dans la lutte et la douleur, un système économique viable. Étonnant, non ? Tellement étonnant et viable que certains de ces anciens patrons ont soudain réapparu pour réclamer leurs biens (miraculeusement et étrangement bénéficiaires). Si ce n’est que l’on croit rêver à l’apparition de leurs bouilles de victimes éplorées, il faut noter que l’intérêt du documentaire se trouve aussi dans la réalisation subtile et volontairement "réaliste" de Naomi Klein et Avi Lewis. Nulle tentative de satire à la Michael Moore ici. Pas de propagande maquillée, on filme les événements, point barre !

Film documentaire, instantané d’une réalité contemporaine, « The Take » a failli s’intituler "Nos rêves n’ont pas de place dans vos bulletins de vote" (slogan de ces révoltés de l’Argentine d’en bas durant les élections). Ce n’est pas le cas mais la vérité n’est pas ailleurs (pour le coup).Bref, si le néo-libéralisme actuel vous fiche le bourdon, n’hésitez pas un instant, « The Take » est une vraie cure de jouvence et d’optimisme combattant.

"DANGER TRAVAIL" PROJECTION DEBAT A ST JEAN EN ROYANS

Une dizaine de chômeurs et chômeuses racontent pourquoi et comment ils ont décidé de ne plus aller travailler. Après avoir fréquenté plus ou moins longtemps le monde du travail, ces hommes et femmes ont fui l'usine, l'entrepôt ou le bureau, bien décidés à ne plus accepter les règles de la guerre économique contemporaine. Loin de l'image du chômeur accablé ou déprimé, ces "sans-emploi qui n'en demandent pas pour autant" expliquent ouvertement pourquoi ils cherchent à s'épanouir en dehors du monde du travail, avec peu de ressources mais en disposant de temps à profusion.

· Documentaire de Pierre Carles Christophe Coello, Stéphane Goxe avec Christophe Coello, Stéphane Goxe. 2003. 1 h 22 mn

Peut-on considérer la question du travail sous l’angle du refus sans provoquer d’emblée la réprobation générale ? Est-il possible d’aborder le thème du chômage sans le présenter sous le signe exclusif de la tragédie, mais en y décelant au contraire un des moyens d’échapper aux griffes de l’exploitation et de reconquérir son temps de vie ? Attention danger travail en propose l’expérience en présentant une série d’entretiens avec des chômeurs qui ne paraissent ni accablés, ni désespérés. Dans cette guerre économique qu’on nous avait promise il y a bien des années et qui avance comme un rouleau compresseur, existe t-il encore un sursaut d’imagination pour résister ? Mis en demeure de choisir entre les miettes du salariat précaire et la maigre aumône que dispense encore le système, certains désertent la société de consommation pour se réapproprier leur vie. "Ni exploitation, ni assistanat !" clament-ils pour la plupart. Ils ont choisi une autre voie, celle de l’autonomie, de l’activité choisie et des pratiques solidaires Une dizaine de chômeurs et chômeuses racontent pourquoi et comment ils ont décidé de ne plus aller travailler. Après avoir fréquenté plus ou moins longtemps le monde du travail, ces hommes et femmes ont fui l’usine, l’entrepôt ou le bureau, bien décidés à ne plus accepter les règles de la guerre économique contemporaine. Loin de l’image du chômeur accablé ou déprimé, ces "sans-emploi qui n’en demandent pas pour autant" expliquent ouvertement pourquoi ils cherchent à s’épanouir en dehors du monde du travail, avec peu de ressources mais en disposant de temps à profusion. vendredi 22 septembre 2006 par collectif rto

lundi 14 avril 2008

Projections-débats dans le Royans



Deux soirées au pied du Vercors : de quoi discuter autour du travail à partir de deux projections ... A ne louper sous aucun prétexte ! contact : laruerale@no-log.org

mardi 1 avril 2008

Metz : Face aux merdes fascistes ... solidarité !

Nous relayons cette appel de nos camarades antifascistes de Metz. Faites tourner l’information !

Suite...

dimanche 16 mars 2008

La Marmite

dimanche 27 janvier 2008

La lutte anti-fascistes ne connait pas de frontières !


Quelques nouvelles de la manifestation antifasciste qui avait lieu à Turin le 19 janvier dernier. C'est aussi sur le site internet des compères anarchistes de Chambéry :

mardi 22 janvier 2008

Soutien aux sans-papiers

Samedi 19 janvier avait lieu un peu partout des manifestations de soutien aux sans-papiers.

Retrouvez un compte-rendu de nos camarades de Chambéry sur leur site : http://fa73.lautre.net/

dimanche 13 janvier 2008

Dans le Vercors, premiers pas de la résistance face au Trophée Andros !

Cette année avait lieu la 19eme édition du Trophée Andros, une course automobile sponsorisée par une marque de confitures et de compotes. Tout un symbole...

Après 19 ans de nuisances, de bruit, de pollutions, de matraquage publicitaire, de coupures électriques dues aux besoins boulimiques en électricité du trophée... une opposition à cette course s’est enfin matérialisée et décidée à agir.

Suite...

vendredi 4 janvier 2008

NON AU TROPHEE ANDROS !



Bientôt plus d'infos ici-même !

samedi 15 décembre 2007

Trophée Andros ...

mardi 11 décembre 2007

Les voyous qui nous gouvernent ...

lundi 26 novembre 2007

ANARCHISTES CONTRE LE MUR



A 19 H 30 LE 5 DÉCEMBRE AU LOCAL AUTOGÉRÉ
7, rue Pierre Dupont, GRENOBLE

Soirée F.A.-Indymedia

mercredi 21 novembre 2007

A BAS LA RESIGNATION ! TOUS EN GREVE !


Etudiants, chomeurs, infirmiers, salariés du public ou du privé, ... n'écoutez pas les medias ni les hiérarchies syndicales : A BAS LA RESIGNATION ! TOUS EN GREVE ! Malgré ce qu'ils disent, le mouvement prend de l'ampleur !